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Autoroute crépusculaire
Ramener L. à Marseille comme dimanche dernier. Prendre des photos du ciel. Parler du prochain spectacle. Revenir au présent. Le savourer. Ne plus parler. Mère et fils, alliés du ciel et de la route.
Il faut savoir se faire nuit pour éprouver l'étoilement du ciel intérieur. C.G. Guez Ricord.
C'est sur Twitter et grâce à Pierre Ménard (Liminaire) que j'ai découvert à la fois un auteur, et un très beau site, celui de Michèle Dujardin, Abâdon que j'ai mis dans les blogs à part. Si la phrase vous a plu, allez vite découvrir d'autres pépites de ses "Carnets de lecture/Insomnieuse nuit" où se trouvent d'autres extraits de poèmes de Christian Gabrielle Guez Ricord.
Découvert aussi sur Twitter, un vieux mot malencontre grâce à Christine Dalard qui nous a fait partager ce très beau dicton: "Qui se soucie, malencontre lui vient." Et je veux bien croire que le malheur arrive à celui qui le redoute mais je préfère terminer sur une dernière image et encore une fois la phrase de Guez Ricord.
Il faut savoir se faire nuit pour éprouver l'étoilement du ciel intérieur.
Tags : ciel, guez, nuit, ricord, grace
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Commentaires
1ShantiLundi 10 Janvier 2011 à 16:00Ah j'adore cette phrase, elle me parle vraiment, elle est tellement vraie : beauté et authencité, voila comment je la définisRépondre@Shanti: je me doutais bien que tu l'aimerais et tu as tout à fait raison mais tu as dû écrire très vite... Remarque c'est un beau mot authencité ("autant citer..." ou "ô temps cité!")
3ShantiLundi 10 Janvier 2011 à 19:04Et oui écrit trop vite ! Pour courir à la poste envoyer une lettre vers une certaine dame du sud... mais arrivée trop tard pour le départ, elle ne partira que demain...
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